
le 28/4/2008 à 23h26 par AFP
L'organisation de défense des journalistes Reporters sans Frontières (RSF), qui demande à la Chine la libération de 10 journalistes et cyberdissidents, a annoncé qu'elle allait multiplier les actions jusqu'à l'ouverture des jeux Olympiques de Pékin, le 8 août.
Afficher l'image Jean-Jacques Beinex ou Nicolas Sirkis (Indochine) à la conférence de presse de RSF
Jean-Jacques Beinex ou Nicolas Sirkis (Indochine) à la conférence de presse de RSF
"Il nous reste 100 jours pour mobiliser le grand public. RSF continuera à se mobiliser jusqu'à 8 août", a déclaré le secrétaire général de l'association Robert Ménard au cours d'une conférence de presse.
"La mobilisation, c'est mille petites choses à faire pour que le peuple chinois sorte plus libre (...) de toute cette affaire", a estimé M. Ménard, qui a assuré que RSF serait notamment présent le 2 mai, au moment du passage de la flamme olympique à Hong Kong.
"Il faut faire en sorte qu'il y ait des évolutions concrètes. C'est pour cela que nous avons fait une liste de dix journalistes et cyber-dissidents emprisonnés. Nous demandons leur libération", a ajouté le responsable de RSF, précisant qu'il s'agissait de "dix cas emblématiques, qui incarnent la répression chinoise".
RSF a par ailleurs réalisé un court film montrant des personnalités françaises en train de mimer le mot "liberté" en langue des signes.
"Les dirigeants chinois restent sourds à nos appels. En langue des signes, voici comment on dit liberté", indique une voix off.
"Nous espérons qu'un sportif refera ce signe" pendant les JO, a déclaré Robert Ménard, précisant que ce film allait être "proposé aux chaînes du monde entier".
Le CIO (Comité international olympique) "a interdit aux sportifs de porter un badge (sur lequel devait être écrit "Pour un monde meilleur", ndlr). (...) On ne va quand même pas leur attacher les mains !", a-t-il ajouté.
L'organisation de défense des journalistes Reporters sans Frontières (RSF), qui demande à la Chine la libération de 10 journalistes et cyberdissidents, a annoncé qu'elle allait multiplier les actions jusqu'à l'ouverture des jeux Olympiques de Pékin, le 8 août.
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Jean-Jacques Beinex ou Nicolas Sirkis (Indochine) à la conférence de presse de RSF
"Il nous reste 100 jours pour mobiliser le grand public. RSF continuera à se mobiliser jusqu'à 8 août", a déclaré le secrétaire général de l'association Robert Ménard au cours d'une conférence de presse.
"La mobilisation, c'est mille petites choses à faire pour que le peuple chinois sorte plus libre (...) de toute cette affaire", a estimé M. Ménard, qui a assuré que RSF serait notamment présent le 2 mai, au moment du passage de la flamme olympique à Hong Kong.
"Il faut faire en sorte qu'il y ait des évolutions concrètes. C'est pour cela que nous avons fait une liste de dix journalistes et cyber-dissidents emprisonnés. Nous demandons leur libération", a ajouté le responsable de RSF, précisant qu'il s'agissait de "dix cas emblématiques, qui incarnent la répression chinoise".
RSF a par ailleurs réalisé un court film montrant des personnalités françaises en train de mimer le mot "liberté" en langue des signes.
"Les dirigeants chinois restent sourds à nos appels. En langue des signes, voici comment on dit liberté", indique une voix off.
"Nous espérons qu'un sportif refera ce signe" pendant les JO, a déclaré Robert Ménard, précisant que ce film allait être "proposé aux chaînes du monde entier".
Le CIO (Comité international olympique) "a interdit aux sportifs de porter un badge (sur lequel devait être écrit "Pour un monde meilleur", ndlr). (...) On ne va quand même pas leur attacher les mains !", a-t-il ajouté.