
Indochine, près de trente ans de carrière et de succès. [TSR]
Indochine, emmené par un Nicola Sirkis qui a encore soif de réussite, fête 30 ans de carrière avec la sortie d'un onzième album d'excellente facture. De l'autre côté de la Manche, Starsailor, nostalgique de ses premiers succès, opère un retour aux sources.
Indochine, 11e du nom! Avec "La République des Meteors", le groupe français poursuit son renouveau entamé à la fin des années 90, après une longue traversée du désert. Un renouveau dans la continuité, dirons-nous, avec une présence toujours plus marquée de l'électro.
Car n'en déplaise aux "anti" - et il y en a beaucoup -, le meneur Nikola Sirkis reste fidèle à ses textes venus d'outre-Voie lactée. Et le bougre est inspiré: 21 titres ornent l'édition spéciale de ce onzième album studio. Disons-le sans détour, il y a de très bonnes choses dans cette "République".
Du sexe, de l'amour... du Sirkis, quoi!
Tout commence par le très rock garage "Go Rimbaud, go!", suivi de "Little Dolls", agréable premier single orné d'une phrase qui résume à elle seule l'univers de Nikola Sirkis: "Embrasse-moi encore". Et plus loin, "j'aime le sexe", autre marque de fabrique du chanteur. Une ritournelle à laquelle le chanteur ajoute une dimension douloureuse, celle du départ à la guerre de 14-18 en s'inspirant de lettres écrites par des poilus.
Mais qu'importe la couleur du flacon... Indie rock à paillettes, électro pop et l'indispensable touche de piano, "Indo" se montre convaincant, non sans égratigne sur "Play Boy" "ces artistes français qui vivent en Suisse". Une petite phrase lâchée comme ça, au milieu d'un flot de divagations. Du Sirkis, quoi!
Le groupe entamera en octobre une tournée - dont plusieurs dates affichent déjà complètes - qui passera le 28 novembre par l'Aréna de Genève et se conclura par un méga concert au Stade de France en juin 2010. Trente ans de carrière, ça se fête!
Indochine, emmené par un Nicola Sirkis qui a encore soif de réussite, fête 30 ans de carrière avec la sortie d'un onzième album d'excellente facture. De l'autre côté de la Manche, Starsailor, nostalgique de ses premiers succès, opère un retour aux sources.
Indochine, 11e du nom! Avec "La République des Meteors", le groupe français poursuit son renouveau entamé à la fin des années 90, après une longue traversée du désert. Un renouveau dans la continuité, dirons-nous, avec une présence toujours plus marquée de l'électro.
Car n'en déplaise aux "anti" - et il y en a beaucoup -, le meneur Nikola Sirkis reste fidèle à ses textes venus d'outre-Voie lactée. Et le bougre est inspiré: 21 titres ornent l'édition spéciale de ce onzième album studio. Disons-le sans détour, il y a de très bonnes choses dans cette "République".
Du sexe, de l'amour... du Sirkis, quoi!
Tout commence par le très rock garage "Go Rimbaud, go!", suivi de "Little Dolls", agréable premier single orné d'une phrase qui résume à elle seule l'univers de Nikola Sirkis: "Embrasse-moi encore". Et plus loin, "j'aime le sexe", autre marque de fabrique du chanteur. Une ritournelle à laquelle le chanteur ajoute une dimension douloureuse, celle du départ à la guerre de 14-18 en s'inspirant de lettres écrites par des poilus.
Mais qu'importe la couleur du flacon... Indie rock à paillettes, électro pop et l'indispensable touche de piano, "Indo" se montre convaincant, non sans égratigne sur "Play Boy" "ces artistes français qui vivent en Suisse". Une petite phrase lâchée comme ça, au milieu d'un flot de divagations. Du Sirkis, quoi!
Le groupe entamera en octobre une tournée - dont plusieurs dates affichent déjà complètes - qui passera le 28 novembre par l'Aréna de Genève et se conclura par un méga concert au Stade de France en juin 2010. Trente ans de carrière, ça se fête!